SUSPENSE, ANGOISSE

   "Aimons la goutte qui fait déborder le vase. C'est grâce à elle que commence le changement". C'est un parfait résumé de RESET ou de ce qu'on pourrait appeler l'effet "boule de neige" (grosse, énorme, cataclysmique). Le changement va débuter par un fait divers qui va tout d'abord ébranler la France. Dans ses fondements les plus majeurs au point de faire exploser le vernis social et son cortège de bons sentiments. En créant le KO ou le chaos, c'est selon. Jusqu'à ce que Gaïa, la Terre-mère, se révolte à son tour afin d'éviter sa disparition. Pour cela, elle ne dispose que d'un seul moyen. Eradiquer cette prétendue humanité. En vue de la réinitialisation à l'échelle planétaire. 

Reset
RESET Présentation

 

   Ce roman écrit deux ans avant l'épisode Covid évoque déjà la pandémie à un échelon inégalé. Autre point commun, celle-ci est d'origine humaine avec un esprit de malveillance et de tentative d'anéantissement de l'autre qui va confiner ici à l'assassinat pur et simple de dizaines de milliers d'enfants, de femmes et d'hommes sans distinction de sexes mais pas de religions.

   Générant deux formes de ripostes dont l'une prônée par certains Français pourrait conduire à une dictature similaire à celle de l'Allemagne nazie à compter de 1933. Avec son même cortège d'atrocités.

Angoisse page de couverture

13 Juin. Sous une température caniculaire, une épidémie d’une ampleur jusqu’alors inégalée survient brutalement dans toute l’Europe. Les hôpitaux sont très vite saturés, débordés par cette crise sanitaire, ne parvenant pas à accueillir et soigner ces milliers de malades souffrant des mêmes symptômes. D’autant que surviennent les premiers décès. Qui se chiffreront rapidement en dizaine de milliers. En France le Ministre de la Santé doit intervenir sur tous les fronts en tentant d’abord de comprendre l’origine de cette épidémie inconnue pour pouvoir la traiter. Jusqu’au moment où l’Etat Islamique revendique en être à la source. Dès lors au sein même du gouvernement les avis vont diverger quant aux modes de résolution de cette situation inédite. Jusqu’aux velléités les plus radicales susceptibles de plonger le pays dans la dictature. Durant quatre longues journées c’est le futur de la nation qui va se jouer dans une lutte incessante et brutale pour le pouvoir jusqu’au dénouement final.


 

   Ce devait être une nouvelle d'un peu moins d'une vingtaine de pages. Parfois on se laisse entraîner par l'histoire qui naît sous nos doigts. Ce n'est plus alors l'auteur qui est maître de son imaginaire mais l'instrument d'un récit qui devait être dévoilé.

   Ce court roman de 130 pages aurait pu tout aussi bien s'appeler "Itinéraire d'un sérial-killer" ou "Parcours d'une victime" tant on peut aussi bien être horrifié par l'atrocité des dizaines de crimes commis par un être solitaire que comprendre (sans l'admettre) son cheminement l'ayant conduit à de tels actes depuis sa Sibérie natale jusqu'en France.

L'emprise de Poseïdon

J’ai toujours détesté l’eau. Oui, c’est ça quand j’y réfléchis. Je n’ai jamais aimé l’eau ou plutôt c’est elle qui ne m’a jamais aimé. Pas facile d’écrire tous ces mots alignés les uns derrière les autres en espérant qu’ils constituent une phrase intelligible. J’ai déjà dit que je déteste l’eau mais je n’aime pas beaucoup non plus écrire. Et pourtant il faut que je le fasse. Cela fait déjà bien trop longtemps que je me suis promis de raconter mon histoire. C’est l’occasion ou jamais car je sais que malgré  mes nombreuses offrandes à Poséidon, sa colère n’est pas apaisée. N’est jamais apaisée.

Et qu’un jour prochain il finira par m’engloutir.


 

   Enième roman concernant le voyage dans le temps, pourriez-vous d'emblée supposer ? Que nenni ! (on va remonter au moyen-âge d'où l'usage de cet adverbe). Sauf qu'ici ce n'est pas le corps du héros qui voyage mais son esprit en devenant le spectateur d'événements ayant émaillé notre histoire. La fondation du monastère de la grande chartreuse ou bien encore le prêche du pape Urbain II qui sera le point de départ, en 1095, de la première croisade dont nous continuons à payer le prix.

Le miroir page de couverture

Bernard, notaire en Chartreuse, découvre lors d’une brocante un mystérieux miroir. Objet d’apparence quelconque qui devient rapidement une pomme de discorde entre son épouse et lui-même.  Véritablement hypnotisé il procède malgré tout à son acquisition ne sachant pas que son destin en sera désormais bouleversé à tout jamais.

Le miroir l’entraînera tout d’abord en 1084 sur les pas de Saint-Bruno pour assister en spectateur privilégié à la naissance de la communauté religieuse qui allait fonder le Monastère de la Grande Chartreuse. Avant de plonger dans les tréfonds de l’âme humaine le 27 novembre 1095 au Concile de Clermont lorsque le Pape Urbain II, véritable Chef de Guerre, harangue ses troupes pour la première croisade.

Traversant les méandres de l’enfer sous les fourches de l’épouse courroucée contre laquelle il devra lutter jusqu’au plus effroyable des duels…


 

   Ne surtout pas se fier au démarrager gentillet de ce thriller. Tout va crescendo jusqu'à l'horreur absolue. Haletant. Il aurait pu également s'intituler "Les amants diaboliques".

   Nuits blanches garanties...

Neige noire

   Imaginez un petit séjour romantique, dix ans de mariage ça se fête tout de même ! Un chalet en bois, isolé avec aucune âme qui vive à moins de trois kilomètres. Beaucoup de neige. A vrai dire partout. Un lieu propice à la mise en pratique de jeux sexuels dont je ne soupçonnais pas l’existence dans le cerveau de mon mari. Je ne peux pas lui reprocher, paix à son âme, dans la mesure où j’étais une « victime » consentante. Sauf bien sûr lorsqu’il m’a attaché les poignets et les chevilles à cet immense lit et qu’il a eu la très mauvaise idée de mourir d’une stupide crise cardiaque au moment de son orgasme. En s’affalant de son quintal de muscles sur mon corps.

   Petit détail : Vu que c’était une surprise, mon très cher mari avait jugé bon de ne prévenir personne de notre petite escapade.

Découvrir les sept premiers chapitres. Et plus si affinités ?

Ce thriller relatant, à la première personne, ce qu'a vécu l'héroïne en tant que victime puis d'assouvissement de sa vengeance, il m'est apparu d'éditer celui-ci dans une version "manuscrite". Si cette version ne vous convient pas, n'hésitez pas à me le faire savoir (onglet "Contact") afin que je revienne à une version classique.


 

   L'un de mes tous premiers romans. Ecrit il y a plus de 30 ans mais qui a su conserver toute sa force.

  La thématique est celle des quelques centaines de grammes constituant notre cerveau. Le siège de nos pensées. Dont on pourrait prendre la commande aussi sûrement et facilement qu'un objet télécommandé. 

   Ce n'est qu'une oeuvre de fiction. Quoique ?

La guerre sans non

L’histoire qui va suivre pourra vous paraître incroyable, par certains côtés elle l’est vraiment.

Peu de personnes en ont eu connaissance, les médias n’en ont jamais parlé. Le secret en a été jalousement gardé durant quelques années mais peut-être était-il trop lourd. Il fallait pourtant qu’un jour on sache qui était ce Boris qui a failli faire basculer la face du monde du fait de la découverte de la chlorométalline. Je ne le sais que trop bien, on va nier son existence et le nom de ce savant Russe un peu trop naïf ne sera sans doute jamais inscrit dans les livres d’histoire. C’est peut-être mieux ainsi, ce n’est pas à moi à en juger, les politiques le feront à ma place.